Les artistes plasticiens togolais, Kossi Assou et Améyovi Homawoo dite Amivi, ont séjourné du 24 Janvier au 21 Février 2015, à Ubeda, ville de 35 000 habitants. Ubeda est classée
Sommes-nous sang pour sang togolais ? Conjuguer la « togolité » au quotidien a de quoi effaroucher des esprits mal famés. Bercés ou bernés par les rêves américano-européens
L’Institut Goethe de Lomé, le Centre Culturel Mitro Nunya d’Adidogomé Franciscain et le Centre Culturel Filbleu-Aréma sont très actifs ce mois de novembre à Lomé. Togocultures se donne le plaisir
L’agenda du mois d’octobre est dominé par le conte. Allassane Sidibé participe à la Caravane du Conte en Côte d’Ivoire. Marcel Djondo part en Martinique au Festival de Contes
Septembre, les vacances scolaires se prolongent au Togo. Rogo Koffi Fiangor saisit une fois encore ces moments de flottement entre une rentrée qui tarde et des vacances qui s’éternisent pour
Dans un communiqué datant de ce jour, Bernard Müller, Gaëtan Noussouglo, Nanette Jacomijn Snoep et Aude Bernard en charge de la programmation culturelle et scientifique
Electric Togoland est un projet imaginé par l’artiste Amen Viana. Il rassemble plusieurs artistes Togolais étrangers. Autofinancé à hauteur de 10 000euros soit 6 660 000 FCFA, il n’a besoin
« Vou gan » ou « atahounga » ou "Acrobou" (en milieu éwé), encore appelé « atopani » (en milieu guin) désigne une danse exécutée en milieu Ewé pendant les
Du Togo au Burkina Faso en passant par le Bénin et le Nigéria, l’auteur, metteur en scène et écrivain Emmanuel Lambert de la Compagnie Bulles de Zinc connait bien l’Afrique.
La culture n’est-ce pas le ciment de la vie ? Les traditions togolaises sont conservées à bon escient. Malgré les assauts des médias occidentaux, l’anathème lancé par les évangélistes ou
C’est bientôt les vacances, Lomé accueillera plusieurs activités culturelles. Pour le moment, Togocultures n’a enregistré que le programme des activités du Goethe-Institut de Lomé
Dans un Communiqué de Presse, le Réseau Africain des Promoteurs et Entrepreneurs Culturels (RAPEC) veut ouvrir la « culture à toute l’Afrique » comme un levier de développement durable. Le