Des outils et services utiles pour la promotion culturelle – Deo Gratias Panou, consultant pour Porte88

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Un nouveau rendez-vous chaque dimanche soir de 18h à 20h GMT pour découvrir des outils et services utiles pour la promotion de la Culture. Pour ce premier rendez-vous du dimanche 10 avril, nous recevions Deo Gratias Panou, Consultant en relations publiques, agitateur de conscience et entrepreneur visionnaire. Il est le directeur du cabinet « Porte88 », conseil en relations publiques, prestation de service en communication.

« J’ai les compétences et les ressources pour accompagner tout projet, produits et services, culturels et artistiques en matière de visibilité interne et externe et du développement, d’orientation de potentiel. »

Culture 228 : Avant d’entrer dans le vif du sujet, présentez vous à nos participants ? Parlez nous un peu de votre parcours ?

Déo : Je suis Deo Gratias, jeune motivé et déterminé à réussir dans ma vision des choses. Communicateur de formation, je suis dans la recherche permanente de connaissance pour parfaire ma personnalité. Depuis les classes, j’ai été toujours choisi pour assister à des réunions et rencontres à cause de mon sens pointu de jugement et de rigueur par rapport à mes engagements. Ceci étant, j’ai pu développer des facultés, notamment le sens de l’écoute, d’observation, d’analyse et de compréhension.

Culture 228 : Intéressant, et dans le secteur qui nous intéresse, la Culture et la communication. Quel est votre parcours ? Vos expériences ? Vous parlez de votre « vision des choses », pourriez-vous la partager avec nous ? Concrètement, citez nous des lieux, des business, des personnes avec qui vous avez accumulé des expériences ? Des événements sur lesquels on pouvait ressentir votre touche particulière ?

Déo : J’ai ensuite commence par traîner ma bosse un peu partout pour essayer de gagner en expérience, et pourquoi pas gagner ma vie en tant que self-made-man.

Parlant de vision des choses, je suis parmi ceux qui croient que l’avenir n’appartient plus à ceux qui se lèvent tôt, mais plutôt à ceux qui ne dorment plus…

Culture 228 : Un homme du monde de la nuit, vous voulez dire ?

Déo : J’ai toujours travaillé dans l’ombre, avec des personnes dont je n’ose pas citer le nom. Parce que ma particularité et mes qualités se situent dans une dimension fortement discrète et confidentiel. Pas besoin d’être conventionnel, à mon avis pour prouver notre efficacité. On dit chez nous qu’il est impossible de connaître le goût du sel sans l’avoir goûté. Je suis, à vrai dire, un homme de l’ombre qui aide les gens à venir à la lumière…

Culture 228 : Que proposez-vous concrètement ? Comment travaillez-vous avec vos clients et/ou vos partenaires ?

Déo : Alors avant toute chose, mon cabinet travaille dans le conseils en relations publiques et la prestation des services de communication. Porte88, il s’appelle. Enregistré au registre du commerce et au centre des formalités d’entreprise. J’ai créé un cabinet après avoir été victime d’un système esclavagiste moderne. Ce qui veut dire que j’ai travaillé en tant qu’employé, surbooké et mal payé.

Culture 228 : Oui, c’est le lot de pas mal de nos compatriotes. Dans la Culture, il faut souvent se contenter d’un boulot usant et mal payé pour survivre tout simplement. Au détriment de la création, souvent. Et ce cabinet, ça fonctionne pour vous du côté des revenus ?

Déo : Parlant de revenus, pas tout à fait. Vous savez comme moi que le Togo est ce qu’il est. Et comme, je suis un guerrier, je fais aller. Je dirais plutôt que je me sens heureux et moi même dans ce que je fais.

Kossivi : Conseil en relation publique, prestations en communication. Je pense que tout ça représente tout un panel d’activités, pourriez vous citer quelques exemples pour que les acteurs culturels réunis ici trouve leurs intérêts ?

Déo : Notre mission, c’est d’aider à promouvoir l’image de nos clients. Parlant d’image, nous devons considérer tous les aspects de la choses. Management, Communication, Marketing, Ressources humaines, Organisation, etc.. Parce que ce sont des départements qui conduisent à avoir une bonne image d’un projet, d’un produit, d’un service, d’une entreprise. Nous apportons notre contribution pour aider notre client, à définir sa vision, ses objectifs, ses moyens, et ensuite l’aider à harmoniser tout ceci pour permettre à ce que le rendement soit effectif.

« Nous nous positionnons comme l’homme de confiance qui assiste directement l’acteur culturel dans toutes ses démarches de relations avec les hommes de médias, les décideurs politiques économiques, culturels, les hommes d’affaires, les collaborateurs. »

Culture 228 : C’est un peu un rôle de conseiller pour faire simple. On parle beaucoup de coaching, de développement personnel. C’est ce que vous proposez ?

Déo : Aussi, chez nous, c’est tout un ensemble de solutions pour vous permettre de décupler votre potentiel et atteindre efficacement vos objectifs. Nous ne nous occupons pas seulement de vous conseiller, mais aussi vous aider dans la réalisation en mettant à votre disposition stratégie, outils et ressources humaines pour même vous aider à aller vite, bien, moins chère.

La Ventrologie…

Simon Minekpo : Qu’est-ce qui fait la particularité du monde culturel togolais selon vous ?

Déo : Sa particularité, c’est purement et simplement ce système de copier-coller, manque d’innovation et d’affirmation. Comme dirait une amie, c’est la VENTROLOGIE.

Ferdi : Merci Deo pour ce très intéressant débat….parlant du monde culturel togolais, à quoi cela est-il du selon vous ? Puisque nous sommes ici pour déceler les failles du système, et ensuite y remédier, puisque nous en sommes les acteurs. Ferdia Agbati : Illustrateur graphiste; musicien et communicateur réalisation de projet.

Sonia Gomadoh : Bonsoir. Moi, c’est Sonia Gomadoh, DCC a INTEGRAALE. Deo, en tant que « fixeur », quel serait, selon toi, le meilleur moyen pour guérir le milieu culturel et artistique au Togo de la « ventrologie » ?

Culture 228 : Merci Sonia pour la question et bienvenue sur cette plateforme. ��.

Déo : Sonia bonsoir. Je pense que nous avons besoin des formations sur l’éveil de conscience pour le changement de mentalité. Pour revenir à la stratégie, chacun de nous devra connaître la spécialité de chacun pour savoir faire parfois des identifications classiques. En vérité, nous devons créer efficacement notre communauté de la culture togolaise virtuellement, et animer, et manager cette communauté.

Pour ce faire, je vous reviendrai pour vous annoncer très prochainement notre séminaire sur le « community management ». Une discipline révolutionnaire, que certaines personnes connaissent ici, et qui fait mal en terme de communication.

Culture 228 : Justement, ça coûte combien de travailler avec vous ?

Déo : Pour travailler avec moi, ça ne coûte pas grand chose, humainement parlant. Il faut simplement qu’on étudie la faisabilité, et ensemble on va discuter des moyens que vous avez pour atteindre l’objectif que nous nous sommes fixés. Il faut que nous comprenions qu’il existe beaucoup de chose qui sont plus précieuses que l’argent, notamment les relations. Avec votre bonne foi, et votre positivité, vous pourrez réaliser beaucoup de choses. Tout ne dépend que de la force de notre détermination et nos connaissances. On ne peut rien faire sans sacrifice. Alors il faut toujours évoluer en fonction des capacités des uns et des autres. Rester simplement humain, mais pas bête ni con. Je crois bien que nous pouvons faire beaucoup de choses, si on arrivait à se dépasser nous-mêmes en acceptant de vivre en complémentarité, sans pour autant ramener tout le temps notre ego.

Martial Folly : Bonsoir à tous. Moi, c’est Martial FOLLY, réalisateur et technicien audiovisuel (film, documentaire, publicité, émission télé, clip/cadreur, monteur, technicien de son, un peu de créa 3d). Que vive la culture 228 ! Pour quelqu’un qui a des aptitudes et qui traîne à émerger : 1 – Le boulot de Déo consiste à faire quoi exactement ? Servir de mentor ou diriger ? 2 – Il travaille avec les personnes morales ou physiques ?

Déo : Pour te répondre dune manière subtile, je suis ni mentor, ni dirigeant, je suis un consultant en communication qui a les aptitudes de coach en excellence professionnelle. Je travaille avec tout le monde. Que tu sois personne physique, ou personne morale.

Clément : Déo, Que peux-tu proposer pour ce groupe ?

Déo : Je souhaiterais informer tous les acteurs culturels présents sur cette plate-forme que j’ai une stratégie à nous proposer à nous tous afin de communiquer efficacement sur ce que nous faisons.

« Vous savez qu’aujourd’hui, internet dépasse la communication traditionnelle que nous faisons. Et presque toutes nos cibles sont sur les réseaux sociaux. Alors, nous pourrons créer un boom numérique dans le monde de la culture togolaise. »

Alors comment faire ? Je nous propose de faire une liste avec nos identifiants sur chaque réseau social. Et ensuite nous devons tous veiller à ce que tout le monde puisse avoir dans sa liste d’amis, followers, …tous ceux qui sur cette plateforme. Ainsi chacun sera dans l’obligation de relayer, en permanence, sur sa page, son mur, l’information concernant les actions culturels de tout le monde.

Culture 228 : C’est un peu déjà ce que nous avons entrepris à notre modeste échelle, si je peux me permettre Déo…

Nicolas Zéphyr : Mr Déo bonsoir, et merci pour ta disponibilité. Je voudrais savoir si tu travailles avec des particuliers ? C’est-à-dire des personnes qui ne travaillent pas dans ton cabinet, et où est-ce qu’on peut te voir à Lomé ?

Déo : Contactez moi « inbox » pour mon adresse a Lomé.

Karl Akpabla : Bonsoir, moi c’est Karl AKPABLA, sociologue de formation, communicateur, manager du Studio FLVP. Pensez-vous que l’utilisation des langues importées, surtout le français, constitue un frein au développement culturel et autres ?

Déo : Je pense qu’il faut s’adapter. Si nous voulons corriger le tir, nous allons être davantage en retard.

Horus : Pouvez-vous nous parler des divers événements que vous organisez ? Quels sont les problèmes éventuels que vous rencontrez avec les artistes entre autres ?

Déo : Le problème rencontré avec les artistes, c’est toujours un problème de conscience par rapport à leur statut d’artiste. Ils pensent qu’ils sont Michael Jackson alors qu’ils n’ont même pas de vision sincère et bien définie pour leur carrière. Ils rentrent aussi dans le lot des ventrologues.

Sonia : Ah oui vraiment ! Parce que personnellement, je pense que faire la morale a « un malhonnête » sans lui montrer comment gagner de l’argent « honnêtement »…il risque pas de garder longtemps la leçon !

Déo : Sonia, vous avez tout compris. Les artistes doivent se laisser encadrer par de vrais managers. Pas seulement celui qui signe le contrat, mais par une personne visionnaire et compétente. Quelqu’un qui peut dire la vérité sans se soucier de savoir si ça offense. Donc, après tout Horus, la faute ne vient pas des artistes. Nous avons tous besoin d’éclairage, pour mieux éclairer nos artistes dan leurs démarches. Tout le monde peut aimer l’art. Mais tout le monde ne peut pas faire l’art.

Sonia : J’ai remarqué Déo que les mots « visionnaire » et « compétence » reviennent souvent dans tes argumentaires. Au Togo, nous n’avons pas de reconnaissance, ne serait ce même que d’un réseau, ni de barème, aucun outil sinon « l’ancienneté » ou la « notoriété » ou encore « la capacité à s »endetter » qui sont utilisés pour apprécier l’acteur culturel. As tu déjà fait ce constat ? Quelles approches de solution selon toi? A quand la dénomination « Industrie culturelle » au Togo?

Déo : La dénomination « industrie culturelle du Togo » viendra quand le peuple togolais va identifier et apprécier à sa juste valeur son identité culturelle. Et reconnaître que la culture n’est pas du folklore. Je crois que nous avons déjà commencé l’industrie ici. �� Je vous remercie pour votre attention. Et vive Culture 228 ! Le meilleur reste à venir.

Deo Gratias Panou est disponible au
00 228 91 50 09 20. Sur whatsapp et on call. Par mail, porte88@outlook.com

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Saison 1 sur le métier de Community Management.

N'arrêtez jamais d'apprendre!!! 
Gestionnaire de communauté ou CM, l'abrégé de community manager, est un métier qui consiste à animer et à fédérer des communautés sur Internet pour le compte d'une société, d'une marque, d’une célébrité ou d’une institution. Le cœur de la profession réside dans l'interaction et l'échange avec les internautes (animation, modération) ��‍��THÈME DU STAGE.  

Community Manager  au service de la promotion de la culture du 228.
Place limitée à 50 personnes. 
Le lieu, la date, l'heure et les conditions de participation vous seront communiqués. ��
@ info et Resa: 
�� +228 91 50 09 20 | porte88@Outlook.com
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