Tinaa Falliye

« Tinaa Falliye » 2011 a été un succès de l’avis de ses organisateurs

Tinaa Falliye
Tinaa Falliye

Le premier Festival de célébration et de promotion des voix féminines en République togolaise, « Tinaa Falliye » (« célébrations de nos mères » en langue bassarie du nord-Togo), a comblé ses organisateurs. Ces derniers ouvrent d’ores et déjà les bras à tout éventuel appui ou partenariat pour l’édition 2012 programmée sur le mois d’août.

Du 18 au 20 août dernier,  « Tinaa Falliye », a drainé un public de connaisseurs. Un concours de chant ainsi qu’un spectacle live ont constitué l’originalité de la première édition de ce Festival. Ce live qui a clos l’édition 2011 du « Tinaa Falliye » a réuni autour de la piscine de l’Hôtel Eda Oba (centre de Lomé) des pointures féminines de la musique au Togo comme Santy Dorim, Therabelle et Nolia, Kess, Joes Madi

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et  les invitées d’honneur de la première édition de ce festival : Queen Etemé, Manu Gallo et Virna Nova. Des stars féminines de la voix et de la basse provenant respectivement du Cameroun, de la Côte d’Ivoire et de la France.

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A l’issue du concours de chant, trois noms se sont révélés au grand public, sur les 13 finalistes : L’ivoirienne Mme Kouassi et deux togolaises Lakoele Lacle, Alice Djokoto. « Tinaa Falliye » qui se veut un rendez-vous de « la célébration des voix féminines d’Afrique et …d’ailleurs » a voulu encourager le talent musical féminin au Togo en gratifiant sa lauréate numéro un d’importants lots : « Formation en amélioration de la pratique de la voix », « Apprentissage d’un instrument de musique », l’enregistrement de deux chansons dans le studio de Karlos Danklou « All that production »), réalisation d’un clip vidéo, soutien financier, etc. Les autres lauréates n’ont pas non plus été oubliées par les organisateurs, en terme de prix. Elles bénéficient essentiellement d’une bourse d’apprentissage d’un instrument de musique à Lomé. Un master class et une causerie-débat ont aussi meublé « Tinaa Falliye » 2011.

Edem Gadegbeku

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